Dans l’éphémère floraison des jardins, la lumière joue avec les ombres pour créer une mosaïque de couleurs, tandis que la douceur de l’air est remplie d’un rire lointain. Le contraste entre la délicatesse des pétales et la force tranquille de la nature rappelle l’équilibre fragile de la vie. Ces scènes, où le temps semble suspendu, invitent à la réflexion sur la permanence dans le transitoire et sur la joie simple qui se trouve dans la contemplation silencieuse. Dans quelle mesure les moments fugitifs façonnent-ils l’empreinte indélébile que nous laissons dans le fil de l’existence ?
Maëlle,
Dijon, le 04 juin 2023







Laisser un commentaire